Plusieurs facteurs contribuent à la survenue des troubles respiratoires nocturnes. Comme une configuration anatomique particulière des voies aériennes supérieures pour laquelle une intervention chirurgicale peut être proposée avec des résultats satisfaisants. Une obésité, également, qui augmente l’incidence de SAHOS et entraîne des complications métaboliques (dyslipidémie, HTA, diabète de type 2). La sédentarité, cause de rétention hydrique dans les membres inférieurs et facteur d’oedème pharyngé et d’arrêt de la respiration au cours du sommeil lors du passage en décubitus la nuit, peut également être en cause.
Chikungunya : l’épidémie en baisse à La Réunion, nouvelle phase du plan Orsec à Mayotte
[VIDEO] Simulateur d’IRM, de la clinique à la recherche
Une santé mondiale sans la première puissance est-elle possible ?
Maladies infectieuses : les décisions mortifères des États-Unis