Il y a quelques jours, la vaste enquête « Santé mentale » menée par l’Association nationale des étudiants en médecine de France (ANEMF), l’Intersyndicale nationale des internes (ISNI) et l’Intersyndicale nationale autonome représentative des Internes de médecine générale (Isnar-MG) avait mis en lumière l’aggravation de la santé psychique des étudiants en médecine, dont les internes. Selon l’étude, ils sont désormais 75 % à souffrir d’anxiété et 39 % à manifester des symptômes dépressifs dans la semaine précédant le questionnaire.